Presse

La Gazette bleu

Le retour des beaux jours, la douceur des longues soirées que l’on pourra bientôt de nouveau partager déconfinés… voilà qui donne envie de se bouger. Alors, ne faites pas le voyage chez le disquaire à moitié, nous avons deux projets pour prendre deux fois plus de plaisir à bouger son corps ! c’est parti.
L’album « Plein soleil » composé par Don Billiez (le père, alias Michel Billès) et produit Arthur Billès (le fils) est bien dans l’esprit (le Saint Esprit donc, il ne manquait que lui) de tout ce qu’il nous faut à la sortie de l’hiver, à savoir du groove, du funk, des cuivres, des rythmes chauds, bref le plein de soleil.

Vous allez donc être servis, et même copieusement servis les amis.

Tout jeune, Michel Billès étudie le saxophone, et s’initie à la guitare et aux percussions et, à tout juste 21 ans il rencontre Nino Ferrer qui l’engage dans son groupe. Au début des années 80, il croise le groupe sénégalais Touré Kunda et part en tournée avec eux à travers l’Europe, l’Afrique, les USA et le Japon durant 5 ans. Sideman d’Alain Bashung et partageant durant 12 ans la scène aux côtés de Paul Personne, Don Billiez se nourrit de rencontres musicales de tous horizons.

Naturellement, ce « Plein soleil », regorge d’influences pop, rock, afro-soul et funk, qui, au travers des 12 titres, raconte en musique autant de souvenirs, d’histoires ou d’anecdotes.

Pour ce cinquième album, il partage la signature de plusieurs titres avec son fils (batterie / basse / guitare / piano rhodes) batteur et une fanfare joyeuse qui nous invite à la fête (Franck Lamiot : orgue Hammond, Cyril Peron Dehghan : guitare, Philippe Anicaux: trompette / trombone/tuba : Christophe Allemand : sax baryton).

Le tout commence avec « The sweetness of spring », une rythmique soul au tempo exaltant où le chanteur Dimoné slamme en l’honneur des beaux jours retrouvés.

10 août 2018
#Chronique : Don Billiez « Echoes of magic trips »
Ces « Echos de voyages magiques » que nous propose le saxophoniste Don Billiez dans son dernier opus sont bien sur une réminiscence des années 60 et 70, et de la période psychédélique que cet ancien compagnon de route de Nino Ferrer et d’Alain Bashung, deux pionniers du rock aventureux en France, a bien connue.
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Madame rêve à La Tour d’Aigues… Quand Madame rêve à la Tour d’Aigues, c’est que le son vibrant du sax soprane de Don Billiez la prend aux tripes et fait vibrer les murs de l’antique château ! Car, en effet, mercredi 19 juillet dernier, dans le cadre du Festival LeZ'Art
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Don Billiez, le "Gato Barbieri" catalan.
Le saxophoniste ténor catalan Don Billiez, peu connu du grand public mais qui a prêté sa sonorité chaude à de nombreux chanteurs attirés par le blues ou les musiques latines (Touré Kunda, Nino Ferrer, Alain Bashung, Paul Personne), a publié récemment un album, “Con Alma” (Spirale.DG Diffusion). Ce musicien, dont l’amplitude et le grain de la sonorité évoquent d’emblée ceux de l’Argentin Gato Barbieri, y interprète avec une certaine emphase des musiques baroques et lyriques, très latines, entre tango, afro-funk, flamenco-jazz et latin jazz.
DEPECHE A.F.P./LA SCENE

Il a trouvé une formule pour se définir (”Catalan africain blanc”), mais bien malin qui saurait définir la musique de Don Billiez, puisqu’elle fait son miel des musiques du monde, en Afrique ou en Amérique Latine, mais aussi dans la soul et le funk. Résultat : ce saxophoniste qui a joué avec des gens aussi différents que , Touré Kunda, Alain Bashung, Nino Ferrer ou Paul Personne, souffle avec passion. “Avec de l’âme”, comme l’annonce le titre de cet album enregistré avec la participation (même minime) de pas loin de trente personnes. Si l’on juge de la bonté intrinsèque et de la sympathie qui se dégage d’un homme au nombre de ses amis (les vrais, pas ceux qu’on s’ajoute sur Facebook), il est clair que Don Billiez est une grande âme.
Jean-Marc Grosdemouge -Copyright M-la-Music

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«Au saxophone, Don Billiez est impressionnant, avec fougue et passion, il se lance dans les cheminements mélodiques qui mènent à la fascination. Puissance et virtuosité donnent l’impression d’une étonnante facilité ; c’est ce qu’on appelle le talent »
La Provence

«Sa musique multiculturelle s’envole dans des chapelets de notes fluides et rageuses, à la fois un grand moment musical, une pure envolée céleste» La Marseillaise

«Qui à dit : souffler n’est pas jouer ? Billiez (que les fans de Touré Kunda reconnaitrons : il fit partie des meubles, pardon des cuivres), est l’un de ces saxophonistes capables d’entrainer un équipage au bout de son régime. Sa musique fait la navette entre Afrique, Caraïbes et Sud Amérique. Le groupe est tout neuf, mais la poigne, le tonus et les couleurs promettent des lendemains qui soufflent.»
Libération

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Jazz in Riad-FEZ /Maroc : la note bleue décline ses plus belles couleurs à Fès Le Festival jazz in riad porte bien son nom. Les douces soirées de ce mois d’octobre ont été largement imprégnées par les lieux qui les ont abritées. A Fès, on a rendu hommage aux grands jazzmen. Django Reinhardt, dont nous fêterons en 2010 le centenaire, était à l’honneur à Fès. Le jazz n’a jamais admis les frontières. Il voyage tout le temps. De ces voyages, on retiendra le nom de Don Billiez, un jazzman catalan. Le leader du groupe et compositeur était accompagné d’une voix exceptionnelle, celle de Atef (chanteur lyrique, franco-tunisien). Avec ces virtuoses, on aurait pu craindre une surenchère de notes savantes, d’une musique réservée aux initiés, d’effets éclatants… Il n’en fut rien. Leur musique était simplement marquée du sceau de l’émotion.
La musique de Don Billiez glissait avec bonheur, sortait de son vaporeux costume blanc ou peut-être de son chapeau. On ne sait pas vraiment ! Tout son corps est imprégné de musique. Un magicien des notes. L’artiste se concentrait sur deux éléments tout au long du concert, son instrument et le public. Un public qu’il n’a pas quitté un seul instant et qu’il a accompagné dans une magnifique ascension.
LA VIE ÉCO - FES